» Holocène «
fin du dernier âge glaciaire
Est le nom donné habituellement à l’extinction massive et étendue des espèces durant l’époque contemporaine, ou dite « moderne » de l’Holocène qui continue actuellement. Le taux d’extinction actuel est de 100 à 1 000 fois supérieur au taux moyen naturel constaté. |
» percés «
Quel instrument de cette époque était donc en mesure de percer un trou carré dans le bronze,
alors que, même aujourd’hui, on doit utiliser des outils en alliage assez dur ? |
Harald Haarmann, http://de.wikipedia.org/wiki/Harald_Haarmann Il enseigne la linguistique dans plusieurs universités en Allemagne et au Japon. Il est membre du Research Centre on Multilingualism. |
» Enquête « Archéologie : L’aube de la chirurgie Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) http://www.science.gouv.fr/fr/actualites/bdd/res/3502/archeo-une-amputation-il-y-a-7000-ans-/ Médiscoop | Dorffer-P. 14/01/2010 | Le Figaro | Yves Miserey 26/01/2010 | LE MONDE | Mis à jour le 05.02.10 | |
» ripisylves «
forêt riveraine, rivulaire, à la lisière de forêts humide
|
» cervoise « Ce nom viendrait du romain « cere visia, évoquant Cérès, la déesse des moissons et de vis qui, en latin, signifie la force. » |
Compilation et adaption par pierre BUGAT de Genève
On estime que la terre a 4.6 milliards d’années tandis que nos ancêtres eux, seraient apparus il y a 1.8 millions d’années.
Ocre (oxyde de fer) gravé trouvé dans la grotte de Blombos à 200 kilomètres du Cap en Afrique
du Sud, datés d’environ - 77 000 ans a été découvert dans un atelier destiné à la fabrication par Homo sapiens
d'ocre bien plus ancien, puisqu'il est daté de 100 000 ans. Des ossements, du charbon, des pierres utilisées comme pilon et
grattoir, mais aussi deux coquillages servant de récipient pour une mixture pigmentaire (photo) ont été retrouvés.apporté sur
place que depuis un site distant environ 40 kilomètres.
Cet objet, comportant une série de lignes parallèles, est la première attestation connue de l’existence de la
"pensée symbolique" qui caractérise l’homme moderne (homo sapiens). L’homme moderne apparaît pour la première fois,
en Afrique, il y a plus de 130 000 ans.
Les gravures et les artefacts Des pointes bifaciales et en os dans la grotte de Blombos constituent une autre confirmation
de l’antériorité de l’homme moderne en Afrique par rapport aux autres continents (homo sapiens). Cet art, le plus ancien
connu dans le monde, à ce jour, précède de - 30 000 à - 40 000 ans
le magnifique art pariétal du Sud de l’Europe (l'Abri Castanet dans le Périgord noir - 37 000 ans, la Grotte Chauvet
en France, le site d’Altamira en Espagne, la grotte de Coliboaia en Roumanie ...)
Selon plusieurs datations au radiocarbone, les dessins remonteraient à une période allant de -32000 à -30000 ans.
Par comparaison, celles retrouvées dans la grotte de Lascaux sont estimées vieilles de -17 000 à 18 000 ans.
La falaise se situant au-dessus de l’entrée de la grotte de Chauvet s’est effondrée à plusieurs reprises dont une première fois
il y a -29 000 ans et une dernière fois il y a environ -21 000 ans, empêchant après cela tout accès à la grotte.
les précédentes datations au radiocarbone des dessins, de morceaux de charbon de bois et des ossements des animaux qui se trouvaient
à l’intérieur les situent de -30 000 à -32 000 ans dans le passé.
informations venant du site
Dans une partie jusqu’ici non explorée de la grotte de Coliboaia (département de Bihor), dans le parc naturel des monts Apuseri.
La datation des peintures rupestres de la grotte de Coliboaia, a livré un âge très ancien, identique à celui de la
grotte Chauvet. Révélant l’existence, à cette période reculée, de pratiques culturelles et spirituelles
communes à tout le continent européen.(en comparaison, la grotte Lascaux en Dordogne moins 17 000 ans).
informations venant du site:
Revue INORA, octobre 2011.
Les peintures noires de la grotte, représentent une vingtaine de figures avec, entre autres, deux rhinocéros, un bison noir,
un équidé, deux têtes d’ours, une silhouette rappelant la forme d’un mammouth et une figure indéterminée.
Même si on est loin des 425 animaux dessinés à Chauvet, la découverte est importante.
La grotte est parcourue par une rivière souterraine, qui rend le passage très difficiles. Elle maintient les traces des ourses
de caverne, qui ont griffé et poli les parois.
informations venant du site
E
lle est attestée à partir d’environ – 450 000 ans, notamment dans les sites de Menez-Dregan à Plouhinec en Bretagne,
de Bilzingsleben en Allemagne ou de Vértesszõlõs en Hongrie et plus récemment de Terra Amata près de Nice.
De - 400 000 ans
à Zhoukoudian en Chine. On y a retrouvé de nombreuses pièces en os et des pointes de bois de cerfs, toutes durcies au feu.
Ces différents vestiges prouvent que les Sinanthopes ont maîtrisé et entretenu des foyers sur le site.
Des chercheurs des universités
du Cap, de Liverpool, de Wollongong et de Bordeaux ont trouvé que le feu était utilisé pour fabriquer des outils de pierre il y a
72 000 ans dans le sud de l'Afrique. Jusqu'alors, les plus anciennes traces remontaient à 25 000 ans
Théorie de la catastrophe de Toba.
Il y a environ 74 000 ans, le volcan où se trouve actuellement la caldeira du lac Toba dans l’île de Sumatra, entra en
éruption avec une force trois mille fois supérieure à celle de l’éruption du Mont Saint Helens aux États-Unis en 1980.
Cela conduisit à une chute de la moyenne des températures d’environ 3 à 3,5°C pour plusieurs années. Une telle chute de 3 à 3,5°C
peut conduire à une baisse de plus de 15°C dans les régions tempérées.
Pour preuve La grotte Cosquer, située dans les Calanques, près de Marseille en France, accessible par un tunnel dont l’entrée
est à 37 mètres sous l’eau... Parmi les peintures d’animaux et gravées il y a environ 27 000 et 19 000 ans, on peut
reconnaître des pingouins et des phoques ! Le climat à cette époque, était sensiblement celui de la Norvège.
informations venant du site
Les hommes fabriquaient des literies "anti-moustique", l’abri sous roche du site de Sibudu, dans la province du
Kwazulu-Natal en Afrique du Sud, vient de livrer la plus ancienne trace connue de litière végétale et d’utilisation de
plantes médicinales.
Plusieurs litières fossilisées date de 77 000 ans, très bien préservée, elle se compose d’une couche de tiges
de joncs et de carex (une plante de la même famille), recouverte d’une très mince couche de feuilles de l’arbuste Cryptocarya
que l’on trouve encore dans la flore malgache. Ce sont ses feuilles qui contiennent des produits chimiques aux vertus insecticides
et larvicides et qui, une fois écrasées, ont la propriété de repousser les moustiques.
Le choix de ces feuilles en particulier laisse penser que les premiers occupants de Sibudu connaissaient les vertus médicinales de
certaines plantes.
informations venant du site
Quand il sort du continent africain et peuplera l’Asie, l’Europe, l’Océanie, .... D’autres nombreux objets ont
été également découverts dans cette grotte, avant l’Age Glaciaire. D’après l’étude des fossiles on pense que les activités
sociales ainsi que la culture n’ont pas émergé avant
l’Holocène,
cliquer pour signification
il y a prés de 12 000 ans, durant la fin du dernier âge glaciaire.
Donc,
durant les 7 000 années suivantes, ces cultures n’auraient apparemment pas évolué davantage et seraient demeurées à
[ l’Age de Pierre ]. Pour les Mayas leurs textes sacrés font commencer leur calendrier il y a environ 50 000 ans, et datent
un événement important il y a environ 12 344 ans dans lequel leur civilisation faillit disparaître.
Cette date pourrait être celle du premier cataclysme qui toucha de plein fouet une
grande partie de leur empire. Les Aztèques disent : "Nous sommes les Fils du 5ème Soleil" : non pas que notre système solaire ait eu
5 soleils, non, mais que notre Humanité est la 5ème portée par la Terre. Avant notre humanité (avant le Déluge Universel),
a existé une autre civilisation, la civilisation Atlante, et avant elle, la civilisation Lémurienne.
La découverte, du plus ancien instrument aiguisé du monde daté avec certitude
il y a 35 000 ans, indique que l’Australie était un important lieu d’innovation technologique. Comme en Europe
dans le Jura souabe, en Allemagne, dans une grotte à Hohle Fels, lieu d’une découverte d’une petite figurine en
ivoire de 6 centimètres de haut, représentant un corps de femme dont les organes sexuels ont été significativement exagérés.
Son âge, estimé à 35 000 ans minimum, prend de court les préhistoriens en reculant d’au moins dix millénaires la
date d’apparition de ce type d’art.
Six fragments d’ivoire sculpté récupéré à la "Höhle Fels" en Allemagne, représentent le plus ancien art figuratif découvert. Datant au moins de 35 000 ans, la Vénus sexuelle est ridiculement exagérée de rondeurs et qui est de plus vieille de 5000 ans que la bien-connu "Vénus de Zaraysk" dit culture de Gravettian.
Des scientifiques russes ont découvert la dent fossilisée d'un chien domestique
en Sibérie datant d'il y a 33 000 ans, l'un des plus anciens retrouvés à ce jour.
L'analyse de l'ADN extraite de la dent a permis de déterminer qu'il s'agissait bien d'un ancêtre du chien moderne.
La domestication du chien est plus ancienne que le début de l'agriculture il y a environ dix mille ans.
Mais les scientifiques ne savent pas quand exactement les chiens et les loups ont divergé pour devenir deux espèces distinctes.
Cette séparation remonterait à plus de 100 000 ans, selon des estimations.
En effet, morte depuis 32 000 ans, des chercheurs russes sont parvenus à la cultiver
à nouveau à partir de ses graines et ses fruits, restés prisonniers du sous-sol gelé en permanence en Sibérie.
informations venant du site New York Times.
Elle répond au doux nom de «Silene Stenophylla».
La plante régénérée ressemble beaucoup à une version moderne qui pousse encore en Sibérie,
Elle donne toutefois moins de fruits mais plus de feuilles.
Les tissus de la «Silene Stenophylla» étaient dans un état exceptionnel de conservation, selon les chercheurs.
Un état qui pourrait être dû à un écureuil qui aurait creusé une réserve de nourriture où les graines seraient
venues se loger, selon eux.
Cet exploit scientifique relègue loin derrière le précédent record. Il était détenu par un dattier dont la vie
est repartie à partir de graines âgées de 2000 ans retrouvées dans la forteresse de Masada en Israël.
Découverte de sculptures sur os de mammouth à Zaraysk,
à 150 km au sud de
Moscou (Russie) des objets sculptés dans des défenses et des ossements de mammouths. dans cette même région, les sites
de Kostenki et Avdeevo ont également livré des objets (dont une Vénus Taillées il y a plus de 20 000 ans dans de l’ivoire
de mammouth,) Plaques d’ivoire gravées, statuettes de femmes aux hanches larges, figurations de grands mammifères,
décorations géométriques : les artistes de Zaraysk n’en finissent pas de surprendre. Une tête de bison sculptée avec grande
maîtrise y avait été mise au jour, ainsi qu’un beau collier confectionné à partir de 41 dents de renard arctique. Le tout
datant du Paléolithique supérieur, entre (- 30 000 ans environ et - 10 000 av. J.C. ).
informations venant du site
Selon de récentes études archéologiques, il semblerait qu’il soit bien plus ancien qu’on ne le pensait. En témoignent sur le site les traces d’une érosion liée à des pluies diluviennes n’ayant pu survenir qu’il y a 10 000 ans, ce qui va à l’encontre de l’attribution des pyramides à la civilisation égyptienne, née en 4 000 seulement avant J-C." de plus en 12 500 ans il regardait "sa" constellation du LION.
Comment les Egyptiens sont-ils parvenus à construire des pyramides, transporter
des blocs de pierre de plusieurs tonnes et déplacer des statues géantes uniquement à la force de leurs bras et de leurs
jambes? Ils avaient notamment développé des systèmes de traîneaux pour déplacer plusieurs tonnes de blocs de pierre. Mais
une question revenait avec insistance: comment faisaient-ils pour les tirer dans le sable? 4 500 ans plus tard,
des physiciens néerlandais ont visiblement trouvé la réponse.
La solution? Elle est aussi simple qu'une goutte d'eau. Effectivement, il apparaît que les Egyptiens se sont facilités la
tâche en mouillant le sable à l'avant du traîneau. La preuve est décrite dans cette fresque découverte au début des années 2000
dans la tombe de Djehutihotep. On voit clairement un homme à l'avant d'un traîneau transportant une immense statue, en train de
verser du liquide sur le sable.
( cliquer sur la photo pour l’agrandir. )
Des tests effectués en laboratoire ont démontré que la force de traction est diminuée de moitié en dosant correctement
l'humidité du sable.
Question de dosage
Si on ajoute de l'eau au sable, des "ponts capillaires" se forment entre les grains. Les petites gouttes d'eau les collent
entre eux et la compacité du sable augmente. Forcément, un traîneau glisse mieux sur une surface compacte. Sur le sable sec,
la progression a plutôt tendance à freiner. Et en versant trop d'eau, le risque de boue est possible et la force de traction
deviendra à nouveau très compliquée. Bref, tout est une question de dosage...
informations venant du site :
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1506/Sciences/article/detail/1872528/2014/05/02/Pyramides-le-secret-des-Egyptiens-perce.dhtml
: 06 février 2015
France : Un postier normand de 64 ans a mis au point une théorie originale pour expliquer la construction des pyramides de
l'Egypte ancienne. Ses travaux ont été publiés dans la revue d'un éminent égyptologue suisse.
informations venant du site :
mystere-des-pyramides.info/
La Porte du soleil ci-joint recto verso. Pesant 10 tonnes sa date de − 15 000 ans avancée est beaucoup plus vraisemblable. On distingue sur la base de cette frise une tête d’éléphant. Le dessin est inattendu car les proboscidiens ont disparu d’Amérique du Sud à la fin du Pléistocène c’est-à-dire il y a 10 000 ans. Cette porte fait échos à la « porte de la lune »
Une autre espèce identifiée qui apparaît est le Toxodon, un mammifère amphibien qui a prospéré en Amérique du Sud à la fin du Pliocène (1,6 millions d’années) et s’est éteint à la fin du Pléistocène (vers − 12 000 ans).
On trouve pas moins de 46 têtes de toxodontes ciselées dans la frise. D’autres représentations d’espèces disparues ont été découvertes sur le site : le Shelidoterium et le Macrauchenia, qui a disparu il y a 10 000 ans.
Pourtant,les représentations sont bien là et par définition, on ne peut dessiner ou sculpter que ce que l’on connaît. Ces animaux ont bien été représentés d’après nature.
Se situe aujourd’hui à près de 4 000 m au dessus du niveau de la mer,
situé en partie en Bolivie et en partie au Pérou. Les
alentours du lac Titicaca sont jonchés de coquillages fossilisés. Bien que vivant à plusieurs centaines de kilomètres de
l’océan Pacifique, les poissons et crustacés du lac appartiennent en majorité à des espèces océaniques.
Sa faune marine démontre que le lac était autrefois plus salé. En fait, il est évident que les eaux étaient marines. Donc, à une certaine époque, l’ensemble de l’Altiplano a été soulevé. Les eaux marines ainsi que sa faune se sont retrouvées emprisonnées dans les Andes. A moins de 20 km du lac et plus de 30 m au dessus des côtes actuelles, se dressent les vestiges monumentaux de Tiahuanaco.
Donc ces vestiges que nul ne peut nier posent le problème suivant : Cette précision géologique est importante pour
comprendre les contradictions manifestes entre ce que nous livrent les sédiments et les roches et la théorie officielle sur la
construction de Tiahuanaco. Il est prouvé que Tiahuanaco était autrefois au bord du lac. Partant de ce fait, soit depuis sa construction,
le niveau du lac a considérablement baissé ; soit, le terrain sur lequel se situe la cité s’est surélevé. Le problème c’est
que le soulèvement de l’Altiplano s’est produit avant l’apparition de l’homme. Le point le plus déroutant est
que la cité avait autrefois un port, les vestiges sont là pour en attester. Ce port était situé sur le rivage du lac Titicaca.
En Turquie, le site de Gobekli Tepe est un sanctuaire monumental construit environ 10 500 ans av. J. C.,
abrite à ce jour le plus vieux temple jamais mis au jour par des archéologues. Gobekli Tepe représente la plus importante découverte
archéologique jamais réalisée.
Cliquez sur les photos
Après datation au carbone 14, l’âge du sanctuaire a en effet été estimé entre 11 500 et 10 000 ans, avant notre ère,
devançant d’environ 70 siècles les plus anciennes pyramides égyptiennes. Une quarantaine de pierres, utilisées pour bâtir
des mégalithes en forme de T, atteignant 3 mètres de haut sculptées ou non et pesant plus de 10 tonnes, mais en beaucoup mieux taillé
et décoré. Ont pour l’instant été mises au jour mais des sondages géomagnétiques de ce sanctuaire monumental ont révélé que
plusieurs centaines d’entre elles se trouvaient encore enterrées.
Elles sont gravées avec des motifs d’animaux, serpents, canards, grues, taureaux, renards, lions, sangliers, vaches, scorpions,
fourmis, ou des parties de chasse. Le site en lui-même semble être un temple ou un site rituel. Jusqu’à ce jour, on a retrouvé
45 de ces pierres sur le site.
Elles sont arrangés en forme de cercle de presque dix mètres de diamètre. Et Gobekli Tepe n’a pas fini d’intriguer les
archéologues : l’âge de ce site est phénoménal : au moins 12 000 ans, voire 13 000. Le plus impressionnant est donc
que l’on pensait qu’à cette période, les humains étaient chasseurs- cueilleurs et nomades et ne connaissaient certainement
pas la poterie ou l’écriture ! et ils ont decoupé sculptée avec les mains ces mégalithes ??
On a retrouvé sur le site des cranes et on pense qu’il y a eu des sacrifices humains. Le site a été volontairement, délibérément
et mystérieusement enterré sous des tonnes et des tonnes de terre et de sable vers − 8 000 av. J. C.
Beaucoup d’animaux géant vivant depuis fort longtemps et ceci jusque proche de 10 000 ans avant le présent. Comme :
le mammouth dernière attestation de l’espèce vers 1 700 ans av. J. C. au nord de la Sibérie.
Certains mâles auraient atteint le poids de 12 tonnes avec 5 mètres au garrot. Ils possédaient trois couches, pour les protéger
contre le froid : une couche de graisse de 8 cm, une peau de 2 cm d’épaisseur et trois types de poils, dont les derniers, ceux qui
recevaient les chocs thermiques, pouvaient atteindre un mètre de longueur.
Mais voilà qu'un accord a été signé entre des équipes de recherche russes et
sud-coréennes dans le but de cloner un mammouth.
Animaux clonés à ce jour :
1963 Une carpe;
1996 Une brebis "Dolly";
1997 Des singes rhésus et une souris;
1998 Une vache;
2000 Des cochons;
2001 Un boeuf gayal et un chat;
2002 Des lapins et une souris;
2003 Des mules, une jument et un rat;
2004 Une mouche;
2005 Un chien et un cheval;
2007 Des loups;
2011 Des coyotes;
le rhinocéros laineux qui c’est éteint en Sibérie occidentale vers 8 000 ans av. J. C. mesurait de 1,6 à 2 mètres de hauteur au garrot et jusqu’à 3,5 mètres de long, pour un poids de 2 à 3 tonnes. Sa tête mesurait près du mètre. Elle était dotée de deux cornes, la plus grande mesurant près de 1,30 m.
le lion des cavernes les plus gros mâles pouvant mesurer jusqu’à 3,5 mètres de long (soit environ 25 % de plus que les lions actuels). ils pesaient entre 250 et 320 kg. Il peuple toute l’Eurasie entre 300 000 et 10 000 ans avant le présent.
l ’ours des cavernes disparaît comme les autres représentants de la mégafaune du Quaternaire vers 10 000 ans avant le présent. Certains mâles peuvent atteindre les 3,5 mètres de haut et leurs poids variait de 400 à 600 kg. Soit près de trois fois le poids moyen d’un ours brun.
Le bison des steppes a disparu de l’Asie du Sud il y environ 10 000 ans, plus haut, plus lourd et plus massif que les bisons actuels. Il possèdait des cornes dont l’envergure peut atteindre 1,5 mètre.
Le smilodon a disparu de l’Amérique il y environ 10 000 ans avant le présent. Son nom signifie " dents en couteaux " du fait de ses canines gigantesques pouvant atteindre les 25 cm. Avec un poids proche des 300 kg, une taille de 2 à 3 mètres et une gueule pouvant s’ouvrir à 90 degré, il est un redoutable prédateur.
Dja’de (Syrie), située sur la rive gauche de l’Euphrate, cette fouille est d’autant plus importante qu’il
s’agit du seul site actuellement connu dans tout le Levant nord présentant la totalité de la séquence cruciale qui couvre tout le 9e
millénaire avant notre ère. présentent un intérêt majeur car ils sont au coeur du long processus de passage d’une économie de
chasseurs-cueilleurs, de prédateurs, à une économie d’agriculteurs-éleveurs. La découverte de peintures murales vieilles de
11 000 ans, (décor peint sur un mur construit de main d’Homme) les plus anciennes connues au monde renforce l’intérêt que
présente ce site.
informations venant du site
Que penser vers − 9 000 ans av. J. C. le Sahara n’était pas un désert mais une terre fertile jouissant d’un climat tempéré, aux grandes rivières pleines de poissons et aux collines herbeuses foisonnant de gibier. ( cliquer sur la photo pour l’agrandir ). L’explorateur et ethnologue français Henri Lhote l’a démontré à travers les fresques préhistoriques découvertes en 1956 sur le plateau du Tassili n’Ajjer, à 1400 kilomètres au sud d’Alger. Après seize mois de travaux, Henri Lhote et son équipe ramenèrent 800 copies de ces fresques, apportant du même coup un passionnant portrait d’un Sahara verdoyant, avec des lièvres bondissants et un historique des premières civilisations africaines. Pour preuve une fresque datant d'environ 3 000 ans av. J.-C.. La finesse des traits de ces femmes, le côté "moderne" et élégant des habits et des coupes de cheveux a vraiment quelque chose d’étonnant. pour l’époque et aux regards des gaulois et Ötzi il y a de 3 à 1 000 ans av. J.C.
L’existence d’une riche civilisation australe permettrait d’expliquer l’origine de monuments disséminés dans le monde entier et construit à l’aide de techniques si avancées sur leurs temps qu’elles défient toute explication rationnelle. C’est notamment le cas des temples d’Amériques latine, attribués aux civilisations aztèque, olmèque, toltèque ou maya, mais dont l’édification a exigé des moyens et une science sans rapport avec ceux de leur époque.
L’origine de la sédentarisation de la civilisation européenne:
L’épeautre appelé aussi « blé des Gaulois » est une céréale, plante de la famille des poacées, proche du blé mais vêtu
(le grain reste couvert de sa balle lors de la récolte) Grâce à ses racines profondes, elle peut pousser sur des terrains
très pauvres, peu fertilisés et très secs.
Les premières mentions de cette céréale se retrouvent dans la Bible. L’épeautre est considéré par certains
auteurs comme une sous-espèce du blé tendre. Cette céréale pousse naturellement depuis des millénaires à proximité des
berges du Tigre et l’Euphrate, a permis, il y a 9 000 ans à l’homme d’alors de se sédentariser en
remplaçant le besoin de s’alimenter au jour le jour par la possibilité de stocker des céréales, donc des aliments, sur une année.
Comme les ruines de la culture Hemudu en Chine (civilisation de Qingliangang), de la première époque a une histoire de plus de
6 900 ans à ce jour, on a découvert de nombreux dépôts de graines de riz, l’épaisseur moyenne est au-dessus de 20cm, et le
plus épais est de 80cm. Certains céréales de riz, cosses de riz, feuilles de paille, graines de riz ont été bien conservés, et lors de
la mise en jour, on peut voir les nervues de feuille, les poils sur les cosses de riz, la couleur de l’état innitial, sur les épis
restants. Cela prouve que le bassin aval du fleuve Changjiang est une des régions qui cultivaient le riz depuis les temps les plus
anciens au monde.
Les premières cultures de céréales, notamment de l’orge et de l’épeautre
(une variété de blé), voir plus haut, ont été attestées en 8 000 av. J. C. en Mésopotamie. En Chine on explique la découverte de
la bière par la légende du bol de riz abandonné par le paysan chinois qui le consommant quelques jours plus tard lui a trouvé un goût
fort sympathique. La même aventure avec l’épeautre où l’orge peut être avoir le même destin en occident et la découverte de
la bière, comme une succession de hasards liés à la nature, et au sens de l’observation de l’homme. Une récolte de grains
trempe dans l’eau d’une averse, le grain commence à germer. Pour le sauver, l’homme le sèche au soleil. Après broyage,
l’habituelle soupe a un goût délicieusement sucré, la soupe conservée pour les jours suivants a encore un goût meilleur
euphorisant.
Les premières traces de fabrication brassicole (grands contenants servant à fabriquer et à conserver
une boisson proche de la bière retrouvée à Jéricho) Tous les ingrédients étant disponibles à partir de cette époque là, la bière où
sikaru
cliquer pour signification
pouvait donc exister et l’on estime son invention / découverte à 6 000 av. J. C.
Cette dernière était obtenue en faisant
macérer du pain d’orge dans de l’eau. la fabrication de la bière on la fabriquait par cuisson de galettes à base
d’peautre puis au Moyen Âge, avec de l’orge que l’on mettait à tremper dans de l’eau, afin de déclencher la
fermentation nécessaire à la production d’alcool, et que l’on assaisonnait avec de la cannelle, du miel ou toutes autres
épices en fonction des préférences des clients. La bière, connue des peuples de Chaldée (maintenant Irak, Koweït) et d’Assyrie
(Syrie, Liban, Israël), devenue monnaie d’échange, commença sa dissémination.
Les Sumériens avaient déjà développé une dizaine de type de bière. Les Babyloniens diversifient encore la gamme avec au moins 34 bières
différentes recensées.
Un peu plus tard, chez les Egyptiens, existaient déjà de véritables brasseries d’Etat, la bière
relevant d’un monopole.
Ces « vins d’orge » servaient d’offrande aux Dieux. Le pharaon Ramsès II, surnommé le «pharaon brasseur» proclama des règles
très strictes concernant ce breuvage.
La bière arrive en Europe vers 5 000 à 4 800 ans av. J. C. suivant deux courants: le
courant danubien (Europe de l’est) et le courant méditerranéen (sud de la France). Contrairement à ce que l’on croit, la
bière a été fabriquée et consommée très tôt en Grèce et à Rome, avant d’être il est vrai partiellement remplacée par le vin. En
effet, si les Romains étaient également plus portés sur le vin, cela ne les empêcha pas d’apprécier la bière, notamment dans les
régions du nord, plus propice à la culture de l’orge qu’à celle de la vigne. On a ainsi retrouvé, dans une villa gallo-romaine,
les vestiges d’une brasserie du 3e, 4e siècle. Chez nos ancêtres, les Gaulois, la
cervoise
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est fabriquée en famille, par les femmes. Ce sont eux qui remplacèrent les récipients en poterie par des tonneaux en bois dont ils furent
les inventeurs. Ils appelaient le malt: «brace», mot à l’origine des mots : brassin, brasseur,… Après la chute de l’Empire
romain, l’Eglise prend le contrôle des terres. Les moines s’intéressent à cette boisson et des brasseries semblent exister
dans toutes les abbayes. Le brassage existe également dans les auberges, les châteaux et dans les foyers.
En effet les hommes du Néolithique fabriquaient déjà du fromage.
Des traces de lait caillé ont été découvertes sur des poteries, attestant de la fabrication de fromage à cette époque
L'archéologie a mis en évidence, sur un site néolithique polonais, des traces qui attestent de la fabrication de
fromage dès le 6e millénaire avant J.-C.
C’est en analysant des fragments de poterie vieux de plus de 7 000 ans que des chercheurs de
l’Université de Bristol (Royaume-Uni) ont fait l'étonnante découverte. En effet, ils ont réussi à déterminer l’usage
que les hommes du Néolithique avaient fait des récipients dont ces morceaux proviennent : ils s'en servaient comme
de véritables faisselles, pour la fabrication de fromage !
Grâce à des analyses isotopiques, ils ont mis en évidence sur ces poteries des traces de lait caillé.
informations venant du site
Le plus vieux fromage du monde a récemment été identifié sur le cou et la poitrine de momies
retrouvées en parfait état de conservation sous le sable d’un désert de Chine.
Les amas de matière organique, datés à
1615 avant notre ère, soit 3600 ans. sur le site abritant les tombes de Xiaohe, dans le Taklamakan, un désert inhospitalier situé
au nord-ouest de la Chine. Des momies en excellent état.
Ce cimetière a été construit sur une grande dune naturelle. Il a abrité au cours
du temps des centaines de mystérieuses momies datant de l’âge de bronze, enterrées dans des cercueils en bois massif en forme de
chaloupe retourné, enveloppés dans des peaux de vaches. C’est certainement ces structures qui ont permis aux dépouilles d’être si bien conservés
à l’abri de l’air de l’eau, et du sable. Les corps ont passé leur temps dans un environnement proche du "sous-vide", ce qui
les a préservés de la décomposition. Cheveux et peau sont restés presque intactes, tout comme les tissus de laine, les graines, les paniers
tissés et la substance laitière glissée de part et d’autre du torse des défunts. L’analyse des protéines a permis de déterminer
qu’il ne s’agissait ni de beurre, ni de lait. Une nourriture pour l’au-delà ?
Il s’agit d’un fromage fabriqué à l’aide d’une méthode similaire à la fermentation du kéfir. Cette technique est
encore utilisée aujourd’hui pour obtenir certains produits laitiers. Elle consiste à mettre dans du lait, des amalgames de micro-organismes
connus sous le nom de grains de kéfir. Après fermentation, on obtient une sorte de pâte, du "fromage blanc de kéfir", que l’on peut
utiliser comme du fromage frais.
informations venant du site http://http://www.cfaitmaison.com/kefir_lait/cuisine.html
L’histoire du vin est si ancienne qu’elle se confond
avec l’histoire de l’homme. Des fouilles ont mis au jour des restes fossilisés d’une vigne de l’âge terciaire
( 50 millions d’années ). Un récit babylonien vieux de 4 000 ans parle déjà du vin, dans la plus
vieille oeuvre littéraire connue.
La vigne sauvage est une liane qui poussait sur les arbres
ripisylves,
cliquer pour signification
Elle est apparue avant l’humanité, et elle est encore représentée en Europe par la Vigne des bois ou Vigne sauvage
[ Vitis vinifera subsp. sylvestris ]
6 000 av. J. C. apparition de la vigne dans le Caucase et en Mésopotamie.
La plus ancienne unité de production de vin connue vieille de 6 100 ans
mise a jour, elle se situe en Arménie, dans la province de Vayotz Dzor, dans une grotte appelée Areni-1, non loin d’un village
réputé encore aujourd’hui pour sa production viticole.
Ils ont découvert sur le site une cuve d’un mètre de profondeur qui pourrait avoir servi à presser le raisin. Des grains de
raisin ont également été retrouvés, du même type que celui cultivé aujourd’hui dans la région (Vitis vinifera vinifera).
Jusqu’à présent, la plus ancienne installation de ce type était celle qui se trouve en Egypte (dans la tombe du roi
Scorpion I), vieille de 5 100 ans environ.
Aussi dans l’actuelle Géorgie. on a trouvé des vestiges de vigne et de vin antérieurs à 5 000 à 5 600 ans av. J. C.
La légende biblique fait planter la vigne par le patriarche Noé à la fin du Déluge.
informations venant du site
Comme la figue est à l’heure actuelle le plus ancien fruit domestiqué, la découverte dans la vallée du Jourdain de neuf figues ( parthénocarpiques ), c’est-à-dire ne produisant pas de graines et dont la culture nécessitait l’intervention de l’homme, en recourant à des boutures. Ces figues seraient vieilles de 11 400 ans.
Les premiers bateaux ont été construits au Néolithique, à partir de troncs d’arbres
évidés à l’aide d’outils en pierre, il y a environ 10 000 ans. Ces premiers bateaux ont une fonction simple, qui est
de pouvoir se déplacer sur l’eau, essentiellement pour la chasse et la pêche.
On a par exemple retrouvé à Noyen-sur-Seine une
pirogue monoxyle, fabriquée dans un tronc de pin sylvestre et conservée sur une longueur de plus de 4 mètres, datée du mésolithique
( -7 000 av. J. C. ), et actuellement visible au musée de Nemours.
Deux autres pirogues , disposées côte-à-côte et en excellent état, ont également été découvertes en amont de Paris, à Nandy, et sont datées de 7 245 / 6 710 ans av. J. C. pour la plus ancienne et 7 040 / 6 620 av. J. C. pour l’ autre, ce qui en ferait a priori les plus vieux bateaux découverts sur le plan mondial.
La réalisation de récipients en terre cuite apparaît au Proche-Orient vers 8 000 av.
J. C., bien après l’utilisation du plâtre ou de la chaux.
Le développement de cette technique permet aux hommes de multiples
utilisations : stockage des grains, cuisson des aliments liquides, vaisselles, etc. Mais supportant mal le transport.
Les plus anciens fragments de tissu ont été retrouvés en Anatolie et datent de 7 000 ans av. J. C. Les fibres végétales comme le lin, vraisemblablement originaire de la Mésopotamie, seront d’abord utilisées par l’homme. Mais avec le développement de la domestication, la laine des moutons et des chèvres sera également préparée pour être tissée. informations venant du site
Des
archéologues arméniens ont annoncé avoir trouvé, lors de fouilles effectuées dans des grottes situées dans la province de
Vayotz Dzor, dans le Sud de l’Arménie, les restes d’une robe confectionnée il y a 5 900 ans.
Datée par l’Université de Californie, les restes de la robe viennent d’être rendus à l’Arménie.
Cette robe de femme multicolore serait pour le directeur de l’Académie arménienne des sciences, le « seul exemplaire
de vêtement fabriqué à partir d’une matière aussi ancienne.
informations venant du site
Un mocassin en cuir parfaitement préservé vieux de 5 500 ans,
ce qui en fait la plus vieille chaussure connue au monde.
Ce mocassin a été fait d’un seul morceau de cuir et a été travaillé pour épouser la forme du pied de celui ou celle qui la
portait. La chaussure était remplie d’herbe séchée mais les chercheurs ne peuvent pas dire avec certitude si cela visait à
garder le pied au chaud ou la forme du mocassin. D’une pointure 37, on ne sait pas non plus si ce mocassin appartenait à un
homme ou à une femme. " Bien que cette chaussure soit de petite taille, selon le système de mesure européen, elle aurait pu aussi être
portée par un des hommes de cette époque, qui étaient plus petits qu’aujourd’hui. " Il a été découvert dans la caverne de Karain
en Arménie, qui se situe dans la province arménienne de Vayotz Dzor, une région frontalière avec l’Iran et la Turquie. Le fait
que l’environnement à l’intérieur de la caverne soit sec, frais et constant a créé des conditions de préservation
exceptionnelles.
informations venant du site
En Turquie une équipe d’archéologues a découvert récemment un sceau
vieux d’environ 8 000 ans lors de fouilles archéologiques à Yesilova Tumulus, une des anciennes cités de l’ouest de la Turquie.
Le sceau, qui porte la date de 6 200 ans av. J.C., est un des plus anciens jamais trouvés dans la région de l’Anatolie.
Il est évident que ce sceau appartenait à un administrateur, ce qui prouve que les cités organisées sont apparues il y a plus
de 8 500 ans dans la province d’Izmir, a indiqué le professeur Zafer Derin du département de l’archéologie de "Ege University".
informations venant du site
Dans l’Antiquité, on ornait de quelques feuilles de laurier en argent le casque de guerre de parade
d’un légionnaires romain avec un adhésif dont les propriétés sont celles de la superglu.
Franck Willer, du musée historique du Rhineland de Bonn a déclaré avoir trouvé des restes de colle sur un casque de légionnaire
en fer exhumé près de la ville de Xanten. L’objet a reposé dans ce qui a été pendant au moins 1 500 ans le lit du Rhin.
Des analyses montrent que la colle romaine était faite de bitume, de suif de boeuf et de poix. Mais les chercheurs ont déclaré
qu’ils ont échoués jusqu’à présent dans leur tentative de recréer l’adhésif, mais que de la sciure, de la suie
ou du sable pourrait être nécessaire pour compléter la recette.
En effet une mandibule humaine vieille de 6 500 ans,
découverte en Slovénie possède une dent recouverte de ce qui semble bien être un plombage.
L'archéologue Federico Bernardini, a établi qu'une canine fissurée avait été traitée avec de la cire d'abeille.
Il ne peut cependant établir si la substance a été mise en place avant ou après la mort de l'individu mourant.
Il s'agit tout de même, selon lui, du plus ancien précurseur connu des obturations dentaires modernes.
Si le remplissage a été réalisé lorsque la personne était toujours vivante, l'intervention aurait probablement eu pour
objectif de soulager la douleur due à la sensibilité des dents lors de la mastication. Cette découverte serait donc
le premier exemple connu de traitement dentaire palliatif.
informations venant du site
Dans la région d’Arica au nord du Chili, furent découverte les plus vieilles
momies connues à ce jour de la culture indigène chinchorro.
Âgées d’environ 5 000 ans av. J. C.. La technique de
momification était bien différente de celle des Égyptiens : les corps étaient démembrés, les organes et les os extirpés et la peau était
séchée. On remplaçait ensuite les os par des joncs et on les recouvrait de boue, les entrailles étaient, elles, remplacées par des peaux
d’oiseaux marins.
Tous les individus de la culture chinchorro, adultes, enfants et même foetus, pouvaient
bénéficier de la momification, contrairement aux Égyptiens qui ne la réservaient qu’à l’élite.
informations venant du site
Une momie chinoise fut découverte à Mawangdui à 300 km au nord de Jingzhou, présentant des caractéristiques de conservation elles aussi exceptionnelles, son sang a pu être analysé (groupe AB). Le personnage ainsi embaumé se nommait Su-Hi et était magistrat, mort en -167.
Cette femme appartenait à l’aristocratie : elle était l’épouse du marquis de Daï,
morte vers -160. Son poids, 75 kg, comme le mobilier retrouvé dans le tombeau, indiquent qu’elle était bonne vivante, voire
gourmande. Elle était enterrée dans un caveau de 6 m x 6 m, avec un millier d’objets, dont les deux-tiers devaient servir à banqueter
dans la vie éternelle. Il y avait notamment des paniers contenant toutes sortes de victuailles : fruits confits, viandes, oeufs de
moineaux, cygne, etc. Le service de table le plus complet trouvé dans une tombe fut également retrouvé.
Les corps des momies étaient protégés par un drap de soie très serré. Sur la momie de Sing-Jui, il lui faisait vingt fois le tour du corps.
Ce drap, privant le corps d’oxygène, a ainsi pu inhiber le développement des bactéries. Les corps étaient ensuite placés dans plusieurs
cercueils gigognes laqués : trois pour le magistrat de Mawangdui, quatre pour celui de Sing-Jui. Les chambres mortuaires étaient ensuite
entourées de charbon (cinq tonnes pour le tombeau de Sing-Jui). Enfin, une étanchéité presque parfaite était assurée par une couche d’
argile, d’un mètre d’épaisseur. Les quinze mètres de terre recouvrant le tombeau de Sing Jui permettent de lui conserver une
température froide et constante.
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Mais le mieux conservé de ces corps est sans conteste celui de Sing-Jui, découvert en 1972 près de la ville de
Changsha dans le Hunan et autopsié par Peng Long-Xiang. Le corps a été conservé pendant 2 150 ans.
Son corps, mesurant 1,5 mètres de haut, a été découvert immergé dans un liquide brun dans un cercueil, accompagné d’os,
de céramiques, d’écrits anciens et de reliques. Les vêtements, un costume traditionnel de la Dynastie des Ming (dynastie
régnante en Chine entre le XIVe et XVIIe siècle), ont été conservés dans leur état d’origine, à peine détériorés.
L’état de conservation était exceptionnel :
* comme d’autres momies chinoises, les membres étaient restés souples ;
* tous les viscères étaient restés en place, parfaitement conservés ;
* le cerveau lui-même était parfaitement intact, ayant simplement diminué de volume.
informations venant du site
L’ethnie Bo du Sud-Ouest de la Chine. Le Bo étaient une minorité ethnique vivante
à l'extérieur des frontières de l'ère moderne du Sichuan et du Yunnan. Là ils ont créé une culture brillante dès il y a
3 000 ans. Cette ethnie vivait dans la région des Trois-Gorges, du sud-est de la région de Sichuan, sud-est
de Hubei et nord-ouest du Hunan. Cette ethnie a été anéantie est détruite par la dynastie Ming (1 368-1 644)
et a totalement disparus. Chaque cercueil est fabriqué à partir d'un tronc d'arbre creusé et certain ont été protégés par
un couvercle de bronze.
Ces cercueils sont parfois déposés sur un piton rocheux, entre 40m et 100m de hauteur, fiché où accrochés à des montants de
bois plantés à même la paroi. On pense que de suspendre les cercueils, empêchés les animaux de les manger et aussi de bénir
l'âme pour l'éternité étant plus proche de Dieu. Certains de ces cercueils datent de plus de 3 750 ans.
La méthode de remonter ces cercueils suspendus reste une énigme de nos jours.
Cette pratique funéraire des cercueils suspendus se retrouve également en Indonésie, aux Philippines et d’autres régions
en Asie du Sud-Est, grâce aux descendant du peuple Bo. Il existe plusieurs nécropoles Bo dans cette partie de la Chine,
Luobiao regroupe le plus grand nombre de cercueils suspendus. Le site comptait plus de 300 cercueils, mais la pluie a
provoqué la chute d’un tiers d’entre eux.
Dans la vallée d'Udine en Italie,coule la rivière Tagliamento ou se situe une petite
ville "Urnania" proche de la mer Adriatique.
Qui a la particularité d'avoir une moisissure (champignon) tout à fait unique qui empêche la putréfaction des corps, absorbe
l'humidité et séche les corps en un état de conservation quasi parfait. Certains d'entre eux avaient même encore leurs cheveux
et leurs organes internes.
Ainsi, lorsque, en 1 804, pour des raisons sanitaires, la ville a décidé de démanteler les cimetières situés dans la ville,
quelle n'a pas été la surprise des ouvriers de découvrir des corps momifiés.
Ils sont exposé à l'Église des Morts d'Urbania, la particularité est constituée par 18 momies naturelles datant du Moyen Âge
et de la Renaissance exposées derrière l'autel.
Parfois ils font une promenade dehors ( photographies Jack Birns , 1950 )
Découverte début 2010 de traces de civilisation restées enfouies sous terre depuis 6 000 ans. Il s’agirait de l’un des plus
grands sites archéologiques de la culture Ubaid d’al-Obeid " en arabe " à l’ouest de la ville voisine d’Ur dans le
sud de l’Irak qui a donné son nom à la préhistoire Néolithique céramique au chalcolithique de la culture, qui représente les débuts du
peuplement de la plaine alluviale de la Mésopotamie méridionale. Du nord, datant de 5 300 à 4 000 av. J. C. Et le début de la culture
de céréales, dans des conditions extrêmes de sécheresse, avec le développement de réseaux de canaux d’irrigation et de vastes et
importantes colonies d’agriculteurs. L’effort collectif nécessaire à la coordination centralisée de ce travail se propagent rapidement
ailleurs.
C’est sur le site archéologique de Tell Zeidan, à 5 km de la ville de Raqqa dans l’actuelle Syrie du nord, que l’
ont a trouvé plusieurs objets appartenant à l’une des plus ancienne civilisation urbaine du Moyen-Orient datant d’avant l’
invention de la roue. cette société pratiquait déjà le commerce ou encore qu’elle était spécialisée dans la production de poteries et
la métallurgie, notamment le traitement du cuivre. . la culture d’Obeid est caractérisée par des colonies grand village, caractérisée
par plusieurs pièces des maisons de brique-boue rectangulaire et l’apparition des premiers temples d’architecture publique
en Mésopotamie, avec une croissance de une hiérarchie à deux niveaux de règlement centralisé de grands sites de plus de 10 hectares entouré de
villages plus petits de moins de 1 hectare. Cette zone s’étalant sur environ 624 mètres se situait au carrefour des routes commerciales
importantes de l’époque mésopotamienne.
Le site a également révélé l’existence d’une élite sociale qui utilisait des sceaux de pierre pour marquer les marchandises
et autres articles prestigieux, tel que l’équipement domestique avec des poteries de couleur verdâtre, orné de dessins géométriques en
brun ou en noir de la peinture, des outils tels que les " faucilles. " Il y avait aussi des tribus qui pratiquent la domestication
des animaux aussi loin au nord que la Turquie, et aussi loin au sud que les monts Zagros.
les chevaux ont été domestiqués dans la péninsule arabique pour la première fois il y a plus de 9.000 ans, alors que les
études précédentes estimaient que la domestication des chevaux en Asie centrale remontait à 5 000 ans. dans les steppes de l’
Ukraine, de la Russie et du Kazakhstan. Les cheveux domestiques se sont ensuite répandus en Europe et en Asie, s’accouplant au passage
avec d’autres, toujours sauvages.
Cette réalité expliquerait la théorie selon laquelle la domestication se serait produite à plusieurs endroits à différents moments. En fait,
il semble que les troupeaux sauvages étaient utilisés pour l’accouplement des chevaux domestiques probablement parce qu’ils ne se
reproduisaient pas facilement en captivité. On estiment que les bêtes étaient alors utilisées comme sources de lait et de viande et pour courir.
Les restes de cette civilisation ont été retrouvés près d’Abha, dans la province du Aassir qui faisait partie de l’Arabie heureuse
dans l’Antiquité. Cette civilisation, à laquelle a été donnée le nom d’al-Maqar. Parmi les vestiges retrouvés figurent des statues
d’animaux: de chèvres, de chiens, de faucons, mais aussi un buste de cheval d’un mètre environ, "aucune statue d’animal
d’une telle dimension remontant à cette époque n’avait jamais été trouvée dans le monde".
La plus ancienne perle fine de l’histoire de l’humanité, vieille
d’environ 5 500 ans, a été découverte sur un site néolithique des Émirats arabes unis
sur le site de l’habitat côtier d’Umm al-Quwain 2.
« Il s’agit donc de la plus ancienne
perle fine archéologique connue actuellement en Arabie, mais aussi au monde » car
L’idée que la plus vieille perle fine (datée de 3 000 ans avant notre ère) provenait d’un site
préhistorique japonais est fausse, au vu de la nouvelle découverte, attestant que les perles fines étaient
déjà collectées 2 500 ans plus tôt dans cette aire géographique, pour leur valeur esthétique,
voire à des fins rituelles. Ces résultats et de précédentes découvertes de perles fines sur le littoral de
l’Arabie du sud-est attestent donc que la plus ancienne pratique de pêche perlière s’est déroulée
dans cette région du monde.
« Les perles fines occupaient une place particulière dans les rites funéraires. Ainsi, la perle retrouvée, non percée,
était déposée dans la sépulture d’un individu dans la nécropole d’Umm al Quwain 2. Dans d’autres
nécropoles, les perles étaient placées sur le visage du défunt, notamment au-dessus de sa lèvre supérieure.
La totalité des perles néolithiques retrouvées sur le littoral en Arabie, (101 au total) est issue de la grande
huître perlière Pinctada margaritifera et de la Pinctada radiata, la dernière étant beaucoup plus petite, plus facile à
collecter et offrant des perles de plus grande qualité.
Quant au nacre des huîtres, elle constituait de son côté une ressource capitale dans l’économie des sociétés
néolithiques locales, « puisque c’est à partir des grandes valves de Pinctada margaritifera qu’étaient
produits les hameçons, destinés à capturer toute une gamme de poissons, jusqu’aux plus grands (thons ou requins) ».
la fabrication d’hameçons taillés dans un coquillage qui dateraient de 16 000 à 23 000 ans,
informations venant du site
radio-canada.ca & 20minutes.fr
Sumer était une civilisation urbaine dite sumérienne et une région historique située dans le sud de l’Irak, la
Mésopotamie. Elle a duré de la première colonie de Eridu dans la Période d’Obeïd fin du 6e millénaire av. J. C. en passant de la
période d’Uruk 4 000 av. J. C. et les périodes dynastique 3 000 av. J. C. jusqu’à la montée de Babylone au début
du 2e millénaire av. J. C.. Le terme "Sumerien" s’applique à tous les locuteurs de la langue sumérienne. Elle constitue la première
civilisation véritablement urbaine et marque la fin de la préhistoire au Moyen-Orient.
Les Akkadiens successeurs des Sumériens (peuple sémitique, ancêtre des Hébreux et des Arabes), est une langue sémitique
qui fut parlée du 4e au 1er millénaire av. J. C.. possédaient une culture exceptionnellement avancée, on leur doit notamment :
4 milles ans av. J. C.
La religion sumérienne a influencé l’ensemble de la Mésopotamie pendant près de 3 000 ans,
( cliquer sur la photo pour l’agrandir ).
elle est une composante très importante de la vie, privée comme publique, des Sumériens et donne naissance à des représentations artistiques
comme à des oeuvres littéraires. Dans la conception sumérienne, le souverain n’est que le dépositaire de la divinité : sa fonction est
sacerdotale aussi bien que politique.
Gilgamesh roi de la cité d’Uruk où il aurait régné vers 2 700 av. J. C., le mythe du déluge, dans l’épopée de Gilgamesh,
pourrait résulter du lointain souvenir d’un cataclysme qui s’est produit il y a 7 500 ans, quand la Méditerranée s’est
déversée par le détroit des Dardanelles dans un lac qui est aujourd’hui la mer Noire, avec un niveau de 100 mètres plus élevé qu’
auparavant.
- Lorsque le déluge arriva, lui expliqua Utanapishtim, ma femme et moi nous nous trouvions dans notre barque de roseau sur la
rivière. Six jours et six nuits les vents soufflèrent, et la tempête submergea le monde. Le septième jour, Et le dieu de donner ce conseil à
Utanapishtim : "Démolis ta maison pour te faire un bateau ! Renonce à tes richesses pour sauver ta vie ! Détourne-toi de tes biens pour te garder
sain et sauf ! Mais embarque avec toi des spécimens de tous les animaux (...).
Six jours et sept nuits durant, bourrasques, pluies battantes,
ouragans et déluge continuèrent de saccager la terre". Utanapishtim lâche une colombe afin de repérer une terre émergée et finit par accoster
sur une montagne.
Les descendants de Noé, seul survivant avec les siens, s’égarent à leur tour, sauf l’un d’eux, Abraham, qui
redécouvre Dieu et, vivant en accord avec cela, sera un modèle de charité. Dieu établit une Alliance avec lui, dont la circoncision
sera la trace dans la descendance, qui sera nombreuse comme les étoiles. Son fils Isaac sera un modèle de rigueur, le fils de celui-ci,
Jacob, un modèle de miséricorde. Malgré leurs faiblesses et défaillances humaines, ils parviennent à se sublimer et à vivre dans la vertu,
ainsi que leurs descendants, ce qui mène l’un d’eux, Joseph, du statut d’esclave à celui de ministre du Pharaon.
Les similitudes de la tablette avec le texte biblique sont frappantes. Il y est question d’un homme, Utanapishtim : il est
informé par le dieu de la Sagesse que l’assemblée des divinités a décidé de détruire l’humanité... De plus on a même retrouvé des
fragments de traduction de l’oeuvre en
hourrite et en
hittite !
Lorsque ceux-ci apparaissent en Asie Mineure, au XXVIe siècle av. J. C.
Les bases des religions judaïsmes .... ont pris racines dans les récits épiques rédigés en sumérien vers la fin du IIIe millénaire
racontent les exploits de Gilgamesh , ainsi l’enfer qui est notifié dans plusieurs religions, est un lieu de tourments situé
dans l’Au-delà.
Les récits bibliques des 11 premiers chapitres de la Genèse sont inspirés des mythes et légendes sumériennes pas rédigé en hébreu,
mais en akkadien découvert à Ninive et plus vieux de mille ans que la Bible.
la Bible est un patrimoine du peuple hébreu
et on emploie plutôt le terme de Bible hébraïque. La Bible, elle-même écrite par étapes depuis moïse vers 1 500 av. J. C..
Jusqu’a la fin du premier siècle de l’ère chrétienne.
Les premiers écrits servaient surtout de livres de comptabilité ou d’ inventaires. Mais l’homme va rapidement utiliser ce nouveau moyen de communication pour raconter des histoires... et surtout son histoire !
Selon
Harald Haarmann,
les premiers signes d’écriture sont apparus dans l’actuelle Transylvanie, en Roumanie, dans la civilisation dite
du Danube qui couvrait l’actuelle Serbie et une partie de la Roumanie. Ils datent de l’année 5 300 av.
J. C.. C’est-à-dire qu’ils sont de deux milles ans et plus antérieurs à la plus ancienne écriture
pictographique égyptienne - 3 400 connue et qu’ils précèdent aussi l’écriture de Sumer, la plus ancienne
élaborée connue. Ils ont été gravés sur trois tablettes de terre cuite découvertes à Tärtäria en Transylvanie. Elles portaient
des symboles picturaux rappelant à la fois les inscriptions des tablettes de Sumer et celles des vestiges de la civilisation
minoenne, en Crète.
L ’écriture de Vinca disposait d’un « alphabet » de plus de deux cents caractères, parmi lesquels on en reconnaît qui seront repris par l’écriture mycénienne, le linéaire B, ou par son cousin non déchiffré le linéaire A. Nous avons alors affaire à une écriture complète avec une numérotation assez élaborée et des formes graphiques complexes. Les Balkans étaient donc un berceau de la civilisation, bien avant la Mésopotamie et l’Egypte, qui sont apparus de manière presque simultanée, mais si les hiéroglyphes Egyptiens et les pictogrammes Sumériens sont tous les deux formés de petites images, celles-ci sont totalement propres à leur région.
Les sumériens utilisaient des roseaux taillés en pointe (les calames) pour tracer les signes sur des tablettes d’argile. Cette écriture était constituée de plus de 1500 représentations. Vers 2 700 ans av. J. C. Les formes stylisées vont disparaître, elles vont être remplacées par l’écriture cunéiforme, composée de seulement 600 signes.
On a retrouver des documents Egyptien ou figurent des hiéroglyphes qui ont été datés de
3 000 ans av. J. C. On suppose que l’écriture hiéroglyphique est plus ancienne que cette datation.
Inscriptions oraculaires Chine, XIIème s. av. J. C.
( cliquer sur la photo pour l’agrandir ).
La Chine a la seule écriture qui est presque restée identique depuis 5 000 ans. Les
signes légèrement modifiés sont encore utilisés actuellement. Ils se sont stylisés au fur et à mesure que leur utilisation se répandait,
mais plus dans un soucis de rapidité d’écriture. On a dénombré plus de 4 500 graphies sur des documents datant de
- 1 100 av. J. C...
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Le plus ancien or du monde travaillé.
Il y a environ 4 600 ans avant notre ère, une mystérieuse civilisation s’installe sur les rives de lacs voisins de la mer
Noire tout près de l’actuelle ville de Varna. Cette culture de Varna
( cliquer sur la photo pour l’agrandir ).
connaîtra un développement culturel et technologique sans précédent pour l’époque. Ce sont d’abord d’admirables poteries,
des idoles en os et en pierre, et des outils de cuivre qui en révèlent l’existence. Puis, une découverte fortuite, si stupéfiante que
son annonce fera le tour du monde. À quelques kilomètres de Varna, se trouve une nécropole (cimetière) contenant les objets d’or les
plus anciens jamais découverts à ce jour. Entre 4 600 et 4 200 ans avant notre ère, bien avant la Mésopotamie ou l’Égypte des
pyramides, l’orfèvrerie a débuté sur les rives de la mer Noire, dans la Bulgarie actuelle. L’étude des quelque 300 sépultures
de la nécropole de Varna I démontre, à l’Âge du cuivre, l’existence d’une société fortement hiérarchisée. Les plus riches
tombes renferment des diadèmes et des sceptres en or, des haches et pointes de javelot à fort poids de cuivre, des parures raffinées, des
céramiques finement décorées. De très nombreuses parures en coquillages témoignent aussi de l’existence d’échanges avec le Sud,
puisque les mollusques en question vivaient alors en Méditerranée.
A ce jour TOUTE notre gamme d’appareil ultra moderne n’y ont rien changé : certaines pièces d’orfèvrerie vieilles de plusieurs
millénaires conservent leur mystère. Comment ceux qui les ont façonnées ont-ils pu concentrer sur quelques millimètres carrés
des milliers de minuscules granules d’or ? Comment ont-ils étiré des centaines de mètres de fil d’or pour tisser des étoffes
métalliques d’une finesse sans pareille ?
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Selon des articles
voir les réf.,
Nous avons la preuve qu’un homme, voilà environ 7 000 ans a subi une amputation et a survécu à l’opération.
Il constitue le plus ancien témoignage d’un tel acte chirurgical jamais découvert en France. Et l’un
des très rares attestés dans la préhistoire.
l ’étude révèle qu’il s’agissait d’un
homme adulte assez âgé, affligé d’arthrose et édenté. L’homme est orienté est-ouest, tête à l’est,
regardant le sud. Couché sur le flanc gauche en position fléchie, les genoux légèrement surélevés, La partie supérieure de son
bras gauche est légèrement éloignée du corps. Son avant-bras gauche manque et rien ne permet d’expliquer cette absence.
Elle démontre l’hypothèse d’une amputation et que l’extrémité distale de l’humérus présente une très nette
section dont l’origine est traumatique plutôt que malformative, coup de hache, accident..., qui a partiellement arraché
l’avant-bras en brisant les os et présente un bord anormalement rectiligne. Des examens radiologiques puis microtomographiques,
la reconstitution en 3 dimensions de l’os, ont été entrepris. Les parties encore en place ont alors été sciées
intentionnellement, sans doute avec une lame de silex.
Toutes les images révèlent des signes de cicatrisation osseuse.
donc que l’amputé a survécu - quelques mois ou quelques années - à l’intervention. Cela, sans trace d’infection.
Ce qui signifie que le manieur de bistouri "savait aussi stopper une hémorragie et possédait une bonne pratique de l’asepsie".
Nous sommes au début du néolithique - la datation des ossements au carbone 14 donne une fourchette comprise entre 4 900
et 4 700 ans avant notre ère, à la fin de la culture dite de Blicquy-Villeneuve-Saint-Germain, juste après la civilisation
du Rubané, caractérisée par les motifs à rubans de ses poteries. Les premières communautés agropastorales, cultivant le blé et
l’orge, élevant des porcs et des moutons, prennent alors la place des derniers chasseurs-cueilleurs du paléolithique.
Une sépultures individuelles, creusée dans un calcaire très dur, de forme oblongue, elle est de dimensions atypiques : 2,5
mètres de long, 1,6 mètre de large et 1,5 mètre de profondeur, alors que les autres tombes, ajustées à la taille du défunt,
ne sont profondes que de 30 cm.
Ötzi, momie témoin et messager de notre passé découvert en septembre 1991 dans un territoire italien
de la province du Sud Tyrol. Dans les glaciers de l’Ötzal d’ou son nom Ötzi, à 3210m d’altitude, qui le retenaient
prisonnier depuis 5 300 ans.
Michèle Aquaron
Qui est-il ? Un individu de sexe masculin, porteur d’une barbe, de tatouages, d’une amulette au cou et de poux ..
Genre, espèce : Homo, sapiens.
D’abord considéré comme un cadavre relativement récent, lors de sa découverte, le Pr Konrad Spindler (Préhistorien et professeur
d’archéologie à l’université d’Innsbruck), à partir de la hache en cuivre, estime l’âge de cet individu, momifié,
à environ 5 000 ans. Les autres objets trouvés autour de lui sont caractéristiques du Néolithique,
il était équipé d’un nécessaire à feu composé d’un briquet en silex, d’un morceau d’amadou et d’un fragment
de pyrite réduit à l’état de poussière et spécialement cette hache, rarissime, du Chalcolithique. La datation au Carbone 14 permet
de préciser la période à laquelle vivait Ötzi, soit entre 3 350 et 3 100 av. J. C.
Un homme de 46 ans à la morphologie athlétique, aux yeux bleus, aux cheveux bruns, mesurait 1,60 m, pesait environ 50 kg, 38 de pointure.
L’homme de glace après la momification (naturelle, par congélation ), le poids est réduit à 13 kg et la stature à 1, 54 m.
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En Chine dans la province de Sichuan région au Sud-Ouest du pays, dans le village de
Sanxing, littéralement le « village trois étroiles », furent misent au jour, deux fosses datant d’à peu près 1 200 av. J. C.
remplies de centaines d’objets de bronze, de jade, de céramique, de coquillages et d’or mêlés à des dizaines de défenses
d’éléphant.
( cliquer sur la photo pour l’agrandir ).
La technologie pour le jade est fantastique : les figures géométriques sur les tablettes, les trous
circulaires réguliers et les motifs aux formes bizarres n’ont pas pu être sculptés et polis à la machine. Il est
y a également deux jades d’un mètre de diamètre et qui sont coupés horizontalement. Leur tolérance d’horizontalité
inférieure à un micron. Il y a des milliers d’années, les instruments de précision permettant de tailler ces jades n’
existaient pas, de sorte que la haute précision de la coupe est vraiment incroyable.
Malheureusement, les livres d’histoire actuel n’en ont fait aucune mention. De même des
masques en bronze ayant gauche et à droite du masque, ainsi qu’au centre du front, des trous carrés avaient été forés.
Ces trous n’ont pas été moulés, mais
percés.
cliquer pour signification
Ce masque de Sichuan, le plus grand masque en bronze du monde. Ses yeux, sous forme de cylindres, sont bombés. Et ses globes
occulaires sont en forme de losanges. Ses oreilles sont grandes et pointues. est de 1 200 av. J. C.
si on compare les yeux, oreilles et nez avec.. le style Olmèque entre − 1 500 et − 1 100 étrange similitude ?
( P.B. )
Un arbre sacré en bronze, haut de 3,95 m, est composé de trois parties : le socle, l’arbre comme tel et un
dragon enroulé autour. L’arbre est subdivisé en trois sections, et au-dessus de chacune d’elles est placé un disque en
pierre très ajouré. Chaque section comprend trois branches : une à droite, une à gauche et une autre en arrière. Un oiseau se
tient sur chaque branche. L’arbre présente donc neuf oiseaux. La manière dont cet arbre est façonné montre bien que la
civilisation cinq fois millénaire de Sanxingdui avait la notion des chiffres.
Cette statue, qui date de 1 200 av. J. C., l’homme de bronze, entier, d’un seul bloc. Il mesure
1,72 m plus un piedestal, ses enormes mains arrondies sur ce qui devait etre un sceptre. est unique
au niveau du patrimoine mondial. Appelées la neuvième merveille du monde. Plus anciens de 1 000 ans que les
statues en terre cuite des soldats de la dynastie des Qin ( 221-206 av. J. C. )
Dressé sur son triple socle,
l’homme impavide atteint 2,60 mètres et pèse plus de 180 kg, ce qui veut dire qu’il a fallu faire fondre plus
de 10 tonnes de minerai pour pouvoir la fabriquer et ce peuple de Sanxingdui connaissait déjà les techniques de température,
de fonte, et de ventilation sinon il aurait été impossible d’arriver à un tel niveau de qualité.
D’après la logique du développement historique, il semble incompréhensible que nos ancêtres aient déjà possédé, il y a
4 000 ans, des sciences et techniques si sophistiquées.
Il y a environ 3 000 ans, cette ancienne ville, très développée, a été abandonnée brutalement. Et la
civilisation de Sanxingdui s’est éteinte.
Mais, la découverte des ruines de Jinsha, en banlieue de la ville de Chengdu, dans le Sichuan, a apporté des éléments intéressants :
le style des objets retrouvés là-bas et celui de ceux retrouvés à Sanxingdui se ressemblent. La civilisation de Jinsha, qui est apparue,
selon les estimations, environ 500 ou 1 000 ans après celle de Sanxingdui, est considérée, en quelque sorte, comme la continuation
de cette dernière. Certains spécialistes pensent donc que les habitants de Sanxingdui se sont tout simplement déplacés à Jinsha.
Innondation ? Guerre ? Epidémie ? Pourquoi le site de Sanxingdui, après 2 000 ans, a-t-il été abandonné ? Plusieurs hypothèses existent.
Pourtant, faute de vestiges et de textes historiques, l’abandon de Sanxingdui reste inexplicable.
Tous ces éléments semblent donc bien démontrer qu’il a existé, il y a au moins 6 000 ans,
une civilisation inconnue possédant :
Une connaissance des mathématiques extrêmement sophistiquée : Trigonométrie sphérique, Translation trigonométrique,
Projection cordiforme et Conversion de coordonnées polaires et rectangulaires.
Une parfaite connaissance de la rotondité de la Terre.
Des instruments de mesure très précis permettant de mesurer notamment la longitude avec une
finesse atteinte seulement à partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle.
Des moyens de navigation qui nous sont inconnus, des navires robustes, ou bien...
certains experts affirment que la précision des tracés n’a pu être obtenue qu’à l’aide de relevés aériens...
Cela explique pourquoi vers - 3000 à - 2700 ans en Chine début de l’utilisation du soc en agriculture
(région de Hangzhou). Apparition des premières traces de correspondance, des premières techniques du tissage de la soie et
introduction de la céramique dans toutes les îles de l’Asie du Sud-Est, plus la métallurgie du bronze.
Premières écritures hiéroglyphes en Égypte, développement de la technique du labour en attestée par les dessins dans les tombes.
En Amériques vers - 3000 ans, innovations technologiques dans le tissage (métier à tisser) et de la céramique.
En Europe vers - 2300, apparaition des cultures de la céramique cordée, début de la pleine période de l’âge du bronze.
Ibn ben Zara (1487) et Benincasa (1508), cartographes arabe et portugais montrent l’Europe du
Nord recouverte d’un glacier ressemblant à celui qui existait 12 000 ans av. j. c. et la Méditerranée dont le niveau
correspond à celui qui existait à la dernière période glacière. Là encore la précision des longitudes est étonnante.
Le fait que des relevés aussi détaillés soient parvenus entre les mains de
cartographes du XVIe siècle accrédite la thèse des Flem Ath sur l’essaimage de survivants de l’Atlantide.
Des pêcheurs d’éponges découvrent l’épave d’un navire romain, à 42 mètres
de profondeur, près de la côte nord de l’
île grecque d’Anticythère. Parmi les nombreuses amphores, statues en bronze et en marbre, ils ramenèrent des pièces de bronze
corrodées, enchâssées dans les restes d’une boîte en bois qui ne sera pas conservée.
( cliquer sur la photo pour l’agrandir. )
Fragment principal de la machine d’Anticythère, L’ensemble mesure
environ 21 centimètres sur 16 pour 5 d’épaisseur.
Le mécanisme consiste en un système complexe de 32 roues et plaques portant des inscriptions relatives aux signes du zodiaque et
aux mois. L’étude des fragments suggère qu’il s’agissait d’une sorte d’astrolabe utilisée pour la
navigation maritime. Une fois dégagées de leur gangue de calcaire et de corail, les inscriptions permettent de dater
l’ensemble vers 80 av. J.C., ce qui est en accord avec l’âge des divers objets domestiques retrouvés, en dépit de la
plus haute antiquité de certaines des statues.
Le mécanisme d’Anticythère, avec
ces roues dentées et ces graduations fait penser tout d’abord à un astrolabe et il est référencé comme tel au musée d’Athènes.
Jusqu’au jour où un physicien anglais à l’esprit ouvert et curieux, le Dr Price, ne se contenta pas de cette explication
sommaire. Ainsi, par application d’une désoxydation électrolytique, il mit en évidence les cadrans, les aiguilles, une vingtaine
d’engrenages ( découpés dans des plaques de bronze de 2 millimètres d’épaisseur ) et les différentiels du mécanisme
manuel. Il apparaît donc que ce mécanisme est en fait un " antique ordinateur grec" permettant de décrire avec une très grande
précision les mouvements des astres, en particulier du soleil et de la lune.
Curieux objet dans le supposé désert technologique des grecs !
Notons au passage qu’au IIe siècle av. J.C., Héron d’Alexandrie avait écrit un traité de construction d’automates
hydrauliques dans son Traité des pneumatiques et qu’auparavant, au IVe siècle av. J.C., Archytas de Tarente aurait fait
voler un "oiseau mécanique".
Plusieurs petit vase en terre cuite reposant au fond des caves du musée de Bagdad.
de 15 centimètres de hauteur sur environ 7,5 centimètres de diamètre. Emergeant du bouchon bitumineux, une tige en fer est insérée à
l’intérieur d’un cylindre en cuivre et isolée de celui-ci à sa base par un tampon en bitume; base d’une pile
conventionnelle. Le cylindre de cuivre étant soudé avec son capuchon par un alliage plomb/étain. Le cuivre porte une patine bleue
caractéristique de la galvanoplastie à l’argent. ce qui jusitifie des vases en cuivre plaqués argent dans un
site Sumérien vieux d’au moins 2500 ans av. J.C.
informations venant du site
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Charles Hapgood eut entre les mains une très vieille carte maritime, dessinée en 1 513 par un amiral turc
dénommé Piri Reis, il a écrit sur sa carte, en notes et dans son Bahriye que " Personne n’a au temps actuel une carte
comme celle-là ". Ces cartes ont été dressées selon les données de chartes, des portulans de quatre Portugais qui montrent le
Sind, provinces du Pakistan et la Chine et d’une carte dessinée par Christophe Colomb. Elles sont aussi justes pour la navigation
sur les sept mers que les cartes de nos pays." Piri Reis déclare aussi avoir compilé sa carte à partir de vingt autres
provenant de la Grande Bibliothèque d’Alexandrie et datant au moins du IVe siècle av. J.C.
Hapgood fut surpris de la précision du tracé de la croûte orientale de
l’Amérique du Sud sur cette carte, achevée à une époque où cette partie du monde n’était pas totalement cartographiée.
La surprise fut complète quand Hapgood s’aperçut que l’Antarctique figurait également sur la carte, alors que ce
continent n’avait été découvert qu’en 1 820, soit trois siècles plus tard !
C ’est alors que Hapgood dénicha une seconde carte "miraculeuse", celle d’Oronteus Finaeus (1 531). L’ensemble de l’Antarctique y figurait, avec de nombreux détails, comme l’emplacement des montagnes, des plaines et des rivières. Autant de particularités qui figuraient tant dans l’étude géologique de 1949 que dans les récits faits par Platon, plus de deux mille ans auparavant.
Le tracé des cartes de Piri Reis et de Finaeus ou de l’Italien Zeno, où celle de Ptolémée datant
du IIe siècle. Toutes ces cartes présentent des détails inconnus à l’époque à laquelle elles ont été établies, dont
l’authenticité a été prouvée, s’inspirait donc de cartes très antérieures, en conséquence dessinées par un peuple
disposant d’une maîtrise technique incomparable pour son époque.
La carte d’Hadji Ahmed datée de 1 559
qui représente une cartographie très moderne des Amériques et surtout de leurs côtes ouest.
La carte de l’italien Zeno, établie en 1 380. Elle contient des éléments non encore découverts à cette date, comme
l’île de Marajo, à l’embouchure de l’Amazone (découverte en 1 543), ou encore les Malouines (1 592).
Elle avait plusieurs siècles d’avance sur ses découvertes en montrant le sous-sol rocheux du Groenland, débarrassé d’une
partie de ses glaces, après la dernière période glacière Il y a 20 000 ans, une grande quantité d’eau était mobilisée sous forme
de calottes glaciaires et le niveau de la mer était de cent dix à cent vingt mètres plus bas qu’aujourd’hui. Le rivage de
la Méditerranée se situait alors à plusieurs kilomètres de l’emplacement de la grotte.. , pour preuve La grotte Cosquer
(du nom du plongeur Henri Cosquer qui l’a découverte en 1991), située dans les Calanques, près de Marseille, Elle est accessible
par un tunnel long de 175 mètres dont l’entrée est à 37 mètres sous l’eau... Elle abrite plusieurs dizaines d’oeuvres peintes
et gravées il y a environ 27 000 et 19 000 ans. Parmi les peintures d’animaux on peut reconnaître des pingouins et des phoques !
Le climat de la France, à cette époque, était sensiblement celui de la Norvège.
La plus ancienne carte d’étoiles connue est un atlas céleste complet découvert en 1900
parmi 40 000 manuscripts précieux entreposés dans les Caves de Mogao, un monastère bouddhique sur la Route de la Soie chinoise près d
e la ville-oasis de Dunhuang (Gansu-Chine).
Cachés dans une grotte aux alentours du XIe siècle, ces manuscrits, principalement des textes religieux bouddhiques ont été miraculeusement
préservés grâce au climat très aride. L’étude scientifique détaillée de la carte réalisée par les chercheurs a permis de conclure que
l’atlas qui contient plus de 1300 étoiles a été
composé dans les années +(649-684). Utilisant des méthodes de projections mathématiques précises, il conserve une précision de 1,5 à 4°
pour les étoiles les plus brillantes.
Une fraction de la carte de Dunhuang montrant trois sections du ciel le long de l’équateur suivies de la région circumpolaire
(à gauche). Crédits British Library.
Il révèle aussi le remarquable niveau de la science chinoise dans l’usage des projections mathématiques.
C’est la plus ancienne carte d’étoiles connue toutes civilisations confondues et la première représentation graphique de
l’ensemble des constellations chinoises. les 1300 étoiles est distribué en 257 astérismes différents, les constellations chinoises
selon la tradition chinoise très ancienne décrite dans des catalogues d’étoiles antiques. En particulier, les étoiles sont réparties
en trois groupes de couleurs différentes pour distinguer les trois catalogues anciens élaborés durant la période des Royaumes Combattants
(- 476 à - 221). Le document est dessiné très soigneusement à la main, avec le nom indiqué pour la plupart des constellations.
Les explorateurs chinois avaient abordé les côtes de l’Afrique australe, C’est ce que révèle une carte chinoise datée de 1 389, baptisée " Da Ming Hun Yi Tu " (Carte du grand empire Ming), qui s’étend de la Chine à l’océan Atlantique symbolisées par le navigateur Zhen He; Nommé Amiral des mers de l’Ouest par l’empereur, Zheng He se retrouve, à 34 ans, à la tête de la plus grande flotte navale que l’Histoire ait connu : plus de 300 vaisseaux et 30 000 hommes prennent part à la première expédition impériale en 1 405 et de 1 405 à 1 433, Zheng He voyage au Vietnam, à Java, à Sumatra, en Inde, à Singapour, au Sri Lanka, au Yémen, en Somalie et au Kenya. Contrairement aux Européens, les Chinoi laissèrent peu de traces. Cette carte est une copie d’une carte bien antérieure environs du premier siècle après J.C. mentionnaient déjà des noms présents sur le continent africain, et plus au sud du désert du Sahara se trouve un lac, bien plus étendu que la mer Caspienne..( lac victoria ). Et qui témoigne selon laquelle le Sahara fut il y a environ dix mille ans une terre hospitalière.
Les trois races représentées sur un vase...
En pays maya à Campeche de 250 à 750 A. J.C., un vase extrait
d’un tombeau présente trois catégories de personnages.
Les uns ont la peau cuivrée, d’autres la peau blanche, d’autres enfin la peau noire. Comment les Amérindiens ont-ils pu imaginer
ces trois couleurs de peau sans avoir rencontré des hommes présentant ces caractéristiques ? Dans différentes civilisations amérindiennes, des
statuettes représentent des personnages barbus. Comment un peuple dont les hommes sont pratiquement dépourvus de barbe ont-ils pu imaginer cette
caractéristique ? On peut aussi citer les appui-tête, communs à certains peuples méditerranéens et mexicains. Il reste le mystère soulevé par le
dieu Quetzalcoatl. Le « Serpent à plumes », le « Dieu de l’Aurore et du ciel » existe, sous différents noms, dans toutes les mythologies
amérindiennes : Kukulkan au Venezuela, Bohica en Colombie, Viracocha au Pérou, chez les Incas. Il est toujours décrit comme « un dieu barbu à
peau blanche venu de l’est ». Comment des hommes à la peau cuivrée et dont la barbe est pratiquement inexistante ont-ils pu imaginer un
dieu présentant ces caractéristiques, qui ressemblent étrangement à celles des navigateurs méditerranéens de l’Antiquité ?
Il existe une fresque murale qui représente un fruit inconnu ressemblant étrangement à un ananas, un fruit purement
américain, ensuite il y a quelques années on a trouvé une galère romaine dans l’Amazonie ! Un autre mystère persiste celui des
Egyptiens. Ils connaissaient le Tabac et la Coca ! Pour ce dernier des preuves irréfutables ont été trouvé dans les cheveux des
momies égyptiennes, ils contenaient des substances qui prouvent qu’ils prenaient de la coca. Ces traces de cocaïne ont divisé
profondément la communauté scientifique.
Un autre peuple de navigateurs aurait
pu également atteindre les côtes américaines : les phéniciens. En 609 av. J. C. naviguèrent ainsi pendant 4 années
et revinrent à Alexandrie après avoir contourné le continent africain. On a découvert une de leur galère en Afrique
du Sud.
L
La présence de ces énigmatiques jarres géante a engendré dans la population locale et au cours des siècles, de nombreuses
légendes. Ce champs de jarres monolithiques et de pierres funéraires du Tràn-ninh (Haut-Laos)
Au Nord-Nord-Est de l’ancienne ville de Xieng Khouang, plusieurs groupes de jarres plus de 43, découvert par Madeleine Colani
datation de ces jarres de pierre, sur une période allant de 500 av .J. C. à 800 ap .J. C.;
Le mystère entoure encore cette civilisation encore inconnue, et le peuple qui réalisa et utilisa ces jarres.
Elles sont de différentes tailles, de un à trois mètres de hauteur, mesurant près de huit mètres de circonférence, pesant de 500 kg
à plusieurs tonnes pour les plus grandes (qui peuvent contenir jusqu’à dix hommes debout). Elles ont été taillées dans des blocs de
roches monolithiques provenant de la région : calcaire de grès, et parfois granits.
Ces champs funéraires ou le mobilier qui l’entoure est des plus riches avec plus de 200 perles en verre, grelots en bronze,
5 bracelets en fer et une perle pseudo-romaine.
ref. Google : Mégalithes du Haut-Laos, Hua Pan, Tran Ninh par Madeleine Colani.
informations venant du site
Le Dr Stirling et sa femme mesurent une boule de granit. Une collection exceptionnelle de sphères
mégalithiques de grande dimension (de 0, 7 à 2,57 m de diamètre). On en trouve en pleine forêt, loin de toutes
carrières où l’on aurait pu les extraire. Le fait que leur signification et leur usage restent largement
inconnus et que leur processus de fabrication, bien qu’en partie compris, ne puisse être entièrement expliqué,
contribue à leur mystère. Ces sphères sont rares par leur perfection et leur grande taille. Elles auraient été
fabriquées de main d’hommes par "d’habiles artisans" inconnus précolombiens.
En Europe dans le village de Mecevici (Zavidovici, Bosnie) lui aussi contient plus de 20 de ces boules de granit
analogues à celles du Costa Rica.
L ’homme le plus grand de tous les temps, mesurait 2m 72 ses pieds 47cm et ses mains 32,5cm il pesait 222kg. ...
( cliquer pour voir la liste )Publiée dans la revue "Science", une étude montre qu’après la disparition des dinosaures, il y a
65 millions d’années, toutes les lignées de mammifères ont vu leur taille augmenter
considérablement. Une équipe internationale, a collecté et analysé, durant trois ans, les données
concernant la denture de fossiles des principaux groupes de mammifères terrestres, pour en déduire la
taille maximale atteinte par ces espèces.
La remarquable similarité des tailles maximales sur les différents continents suggère qu’il y avait
des niches écologiques vacantes similaires pour des mammifères géants partout sur le globe, l’
homme en fais partie. Plus le climat était froid, plus grands semblaient être les animaux, les plus grandes
créatures conservant mieux la chaleur.
Les plus grands évoluant aux époques où la Terre était la plus froide et les habitats terrestres les plus
vastes.
" Un rapport avec les boules de granit du Costa Rica, fabriquées de main d’hommes dans le monde, où les
jarres géante du Tràn-ninh (Haut-Laos), où bien encore la phénoménale pierre "Hadjar el Gouble" et
les géants, Nephilim enfants d’Anak qui étaient là avant le déluge verset 33 de la Bible , dernière
glaciation de - 120 000 à - 10 000 ans ? "
Vos réflexions sont les bien-venues
Les plaines de Nazca se trouvent le long de la côte du Pacifique au Pérou,
à quelque 400 km au sud de Lima, dans un environnement désertique, à 400 mètres d’altitude, couvrent environ 450 km2. Dans les
pampas de San José et les collines de la vallée du Grand Fleuve.
Découverts en 1926 au Pérou, les géoglyphes de Nazca sont de grandes figures tracées sur le sol, souvent figuratives, Colibri,
singe, chien ou araignée, un poisson...
d’autres des végétaux stylisés ou des êtres fantastiques, d’autres encore des figures
géométriques, parfois longues de plusieurs kilomètres qu’ils ne peuvent être visualisés que des airs à une hauteur de plusieurs
centaines de mètres.
Ces géoglyphes sont le fait de la civilisation Nazca, une culture pré-incaïque du Sud du Pérou qui se développa entre 300 av.
J.-C. et 800 de notre ère. Calendrier astronomique ?
( cliquer sur la photo de droite pour l’agrandir. )
Ci contre, lignes et
géoglyphes de Nazca dans une image Landsat-7 (résolution de 30 m, 26/04/00) avec des détails issus d’une image QuickBird (résolution
de 0,6 m, 16/09/02). Source: Tokai University Research & Information Center, Japan.
D’après la mathématicienne allemande Maria Reiche, qui a consacré la majeure partie de sa vie à l’étude archéologique et à la
préservation du site, les géoglyphes formeraient un immense calendrier astronomique, dont les lignes pointent vers des étoiles
remarquables ou des constellations.
Là commencent les hypothèses, car appuyées sur des études précises et approfondies de scientifiques et d’historiens. Il faut
séparer en deux les figures : d’une part les lignes, de l’autre des dessins d’animaux. Il semblerait que les lignes désignent
la position d’étoiles, mais aussi du soleil et de la lune à un moment donné : on a pu démontrer que le 21 décembre, jour du
solstice d’hiver, le soleil se couche exactement sur une ligne. Ainsi, l’ensemble des géomorphes constituerait un calendrier
astronomique géant.
Cette théorie a été infirmée en 1968 par l’astrophysicien américain Gerald Hawkins, d’après les recherches qu’il réalisa en se fondant
sur des calculs informatiques. En reconstituant la carte du ciel telle qu’elle était à l’époque des Nazca, il démontre que 80% des
géoglyphes n’ont aucune relation avec les constellations importantes, cependant ses recherches furent démolies à cause d’une erreur
de méthodologie grave. Il avait reconstitué la carte du ciel en se fondant sur celle de Stonehenge qui n’est pas dans le même hémisphère.
Les tracés terrestres destinés à être vus du ciel ne sont pas rares sur la Terre. Ces oeuvres qui ont utilisées la terre comme support
comprennent notamment les créations des Mound Builders aux Etats-Unis, le géant d’Atacama au Chili, le zodiaque de Glastonbury, les
chevaux blancs du Dorset ou le Grand Homme de Wilmington dans le Sussex.
Dans la pampa, au Sud des lignes de Nazca, des archéologues ont découvert la cité perdue de ceux qui sont supposé être les constructeurs des lignes. Cette ville, nommée Cahuachi, fut bâtie il y a presque 2 000 ans et fut mystérieusement abandonnée 500 ans plus tard.
Les Chimú furent avant tout de grands spécialistes de l’agriculture "intensive" en plaine côtière : fort doués pour l’ingéniérie hydraulique et les travaux d’irrigation, ils réalisérent des réseaux de canaux qui permettaient de relier plusieurs vallées côtières entre elles, comme celles du rio Chicama et du rio Moche près de Trujillo, des rios La Leche, Lambayeque, Reque, Zaña et Jequtepeque près de Chiclayo. Ils creusaient des puquios où acqueducs souterrains pour aller chercher l’eau de la nappe phréatique, et construisirent aussi bon nombre de petits lacs de retenue.
Les Mochica réalisèrent aussi de grands travaux hydrauliques : tout un réseau d’acqueduc estimé à 150 km de long, pour récupérer l’eau des contreforts andins et irriguer les plantations. L’un d’eux existe encore dans la vallée du Rio Chicama : c’est le canal de la Cumbre, atteignant parfois 15 m de hauteur sur un kilomètre et demi de longueur.
L ’acqueduc, dont la longueur (actuellement reconnue) atteint 9 km, est un canal creusé dans la roche volcanique (canteria ), mesurant entre
35 et 50 cm de large. Il recueillait les eaux de ruissellement du versant oriental de la Cordillière et les amenaient vers un réservoir
situé au pied du Cerro Santa Apolonia, avant de servir à l’irrigation des terres arables du bassin de Cajamarca. Le travail de la pierre,
comme le tracé, en est très élaboré : on y relève des grecques et des angles droits, sans doute destinés à ralentir la vitesse des eaux.
Sur les parois, sont gravés de nombreux pétroglyphes dont on ignore la signification.
voir absolument Complément d’info:
ref. : http://www.amis-arts.com/les_civilisations/incas/49_splendeur_royaume_chimu.htm
ref. : http://www.seos-project.eu/modules/world-of-images/world-of-images-c04-p12.fr.html
Il existe un monument assez curieux dans le Golan ancien Syrien, dans le territoire contesté du
Golan.
occupée par Israël suite à la guerre des Six Jours de 1967 et annexée par l’État hébreu le 14 décembre 1981. Cette annexion de la
région a été condamnée par le Conseil de sécurité des Nations unies et n’a jamais été reconnue par la communauté internationale.
Il s’agit d’un monument mégalithique de Rogem Hiri (en arabe رجمالهيري Rujm al-Hiri, ce qui signifie ’tas de pierres
du chat sauvage’), est situé au centre du Golan, de l’époque du bronze de - 5 000 à - 4700 ans à quelque 16 km à
l’est du lac de Tibériade, sur un plateau nu parsemé de rocs de basalte. assez peu connu, mais qui est néanmoins un des vestiges
les plus mystérieux des anciennes civilistions.
Cette structure, qui ressemble étrangement à celle de (
Stonehenge qui elle a été construite en quatre phases entre 3 100 et 1 600 avant notre ère, avec des pierres d’origines différentes.
Certaines pierres proviennent d’Avebury, à une vingtaine de kilomètres, d’autres des monts Prescelly dans le pays de Galles à
plus de 200 kilomètres, et de Milford Haven, à 250 kilomètres. ) distante de 2500Km, est appelé Gilgal Refaim. Il s’agit de cinq
cercles de pierres concentriques qui forment un immense cercle de 156 mètres de diamètre.
Le cercle le mieux préservé comprend des pierres qui mesurent plus de 2,50 mètres de hauteur et d’une épaisseur variable - 3,5 m
au maximum; certaines atteignent facilement le poids de 20 tonnes. Au centre de ce cercle se trouve un tumulus constituant une
chambre funéraire qui mesure 65 pieds de largeur. Comment donc a-t-on pu construire ce "monument" et - surtout - par qui l’a-t-il
été ? à cause de la situation de conflit qui prévaut dans cette région, les chercheurs ne peuvent mener leurs recherches comme ils le
voudraient, les fouilles archéologiques progressent avec extrême lenteur. Néanmoins, certaines constations fascinent littéralement les
chercheurs, notamment le fait que les cercles intérieures, et qui servent en quelque sorte de portes, sont orientées l’une
nord-est et l’autre sud-est. Le professeur Yonohan Mizrahi, chef du département d’anthropologie de l’Université
de Harvard, et le professeur Anthony Aveni, ont découvert que l’an 3 000 av. J. C. les premiers rayons du soleil, au matin du
solstice d’été le 21 juin; pointaient à travers le portail nord-est pour baigner directement de sa lumière le tumulus central.
Plus encore, le portail sud-est est en ligne directe avec Sirius. Les conclusions tirées de ces faits incitent donc à croire que
ce cercle était utilisé comme observatoire astronomique, en plus de servir de calendrier stellaire.
Les premières études estimaient la construction du site à environ 6 000 ans av. J. C., ce qui démontre que ce site précède
l’érection des grandes pyramides et des temples de Babylone.
Un site d'alignements mégalithiques exceptionnel constitué d'alignements de menhirs, de dolmens et d'allées couvertes et réparti sur
plus de quatre kilomètres. Les alignements de Carnac en France sont les ensembles mégalithiques les plus célèbres et les plus impressionnants
de cette période avec près de 4 000 pierres levées.
informations venant du site
15 sites mégalithiques majeurs en France et
autres informations
La construction d'un énorme calendrier celtique a été découvert dans la
tombe royale du Tumulus du Magdalenenberg à proximité de Villingen-Schwenningen en Forêt-Noire.
La position des sépultures du Magdeleneberg représente un modèle de constellation qui peut être vu entre plein
hiver et plein été, alors que Stonehenge était orienté vers le soleil. Les constructeurs avaient positionné de
longues rangées de poteaux en bois dans le tumulus afin de pouvoir marquer les cycles lunaires, d’une
durée de 18,6 ans(>Saros<),
étaient les "pierres angulaires" du calendrier celtique.
Une recherche archéo-astronomiques a pu reconstituer la position des constellations du ciel au début de la
période celtique et suivant celles qui étaient visibles en plein été. Elle a abouti à une date du solstice
d’été en 618 avant JC, ce qui fait de ce calendrier celtique axé sur la lune, le plus ancien
et le plus complet.